mercredi 11 janvier 2012

l'eau c'est la vie

les problèmes économiques actuels ont tendance à nous faire oublier que au delà de l'argent notre vie dépend directement de la nature et elle on ne l'achète pas. si on la provoque trop longtemps elle se fâche et graves sont les conséquences alors voici une ode que j'ai écris en l'hommage de l'eau sans qui aucune vie sur terre ne serait possible

L’EAU

Il est un bien-être
Issus de la nuit des temps
Sans lequel nul être
Ne serait encore vivant

Source de bonheur
quand tu coules sur mon corps
Et que tes larmes effleurent
Ma peau offerte sans remors

Source de vie
Quand tu coules en moi,
Et ma soif est tarie,
Par ce nectar roi.

Don que Dame Nature
Renouvelle éternellement
Si l’homme, par ses sciences obscures
Ne gâche pas inutilement.

Plus précieuse qu’un trésor,
Plus capricieuse qu’une maîtresse,
Plus recherchée que de l’or,
Plus vénérée qu’une déesse.

Oh ! vil individu
Saches que tu es perdu,
Si dans tes gestes les plus sots
Tu assassines l’eau

Babeth

lundi 30 mai 2011

AMOUR ET LIBERTE


La soixanthuitarde que je suis a grandi mais dans son coeur elle a gardé ces deux mots : AMOUR et LIBERTE;

AMOUR ET LIBERTE

Long est le chemin de ta vie

Parsemé de doutes et de défis

Sans cesse il te faudra savoir

Qui il faut suivre, qui il faut croire.

Les déserts que tu traverseras

Repousseront tes horizons

Et partout où tu iras,

Tu graveras ton nom.

Pour porter ton message au monde

Nul obstacle ne saurait t’arrêter

Il n’est qu’une parole féconde

« Amour, Amour et Liberté »


babeth

dimanche 29 mai 2011

PETIT SI PETIT





A la naissance de ma première petite fille, j'ai fais un retour en arrière sur ma vie. Combien de jours, combien d'années se sont passés.......... Aujourd'hui me voilà grand mère et heureuse de l'être et j'ai revu un instant la petite fille qui est née en 1975,



et qui aujourd'hui le 3 juillet 1997, donnait la vie

C'est dans ce moment magique que j'ai écris ce poème

PETIT SI PETIT

Et te voilà, petit, si petit,

A l’aube de ta vie

Blotti au sein qui te nourri

Tu ouvres tes yeux éblouis

Oh ! petit si petit.


Pourtant lentement pas à pas,

De jour en jour tu grandiras,

l’amour te protégera

Là où tu iras,

Lentement pas à pas.


Et quand viendra le temps

Tu partiras cheveux au vent,

Découvrir le monde qui t’attend

Enfant devenu grand,

Quand viendra le temps


Enfin, petit, si petit

Avec celui que tu auras choisi

Dans un instant béni

Tu donneras le vie.

Oh ! petit si petit.

lundi 23 mai 2011

POURQUOI ?



Il est une terrible maladie qui "mange" le cerveau. Elle a un nom qui fait peur : Alzheimer.
J'ai accompagnée des hommes et surtout des femmes qui en étaient atteints. j'ai admiré leurs combats, plaint leurs souufrances appris à les connaitre, à les comprendre. contrairement à ce que l'on peut penser, ils ont beaucoup de moments de lucidité, tout au moins au début et vivent cette descente aux enfers.
Voici un poème que j'ai écris pour essayer de faire passer le message muet de l'une d'entre elles :


POURQUOI ?


Devant moi des rues, des rues, encore des rues.

Mais quel est ce décor inconnu ?

Où donc est ma maison ?

Pourquoi ce nouvel horizon ?


« Bonjour Madame Fanny,

Vous vous êtes perdue ?”

Mais qui est cet homme qui me souri ?

Et mon prénom, comment a-t-il su ?


Me voilà de retour chez moi.

Mon mari est en émoi.

Ne rien dire, ne rien avouer,

Sur cette terrible vérité.


Ma vie est devenue un oubli.

Oubli des visages, oubli des noms,

Oubli des dates, oubli des saisons,

Oubli de tout ce que j’ai appris.


Mais pourquoi ne me comprennent-ils pas ?

Pourquoi veulent –ils se débarrasser de moi ?

Pourquoi veulent-ils m’envoyer la bas ?

Dans cette maison aux murs si froids.


Dans cette prison dorée,

Je finis lentement de m’étioler.

Pourquoi me faire tant de peine ?

Pourquoi ne voient-ils pas combien je les aime ?


Mon corps m’abandonne, ma raison me fuit,

Ma mémoire se perd dans le temps.

Quelle faute ai-je donc commis ?

Pour subir un tel châtiment.


Pourquoi cette bête

Qui ronge ma tête ?

Cauchemar de mes jours et mes nuits,

Cette horrible maladie.

Babeth

dimanche 1 mars 2009

LE CHOIX



Je n'ai jamais aimé le mot "choix" car pour moi choisir c'est renoncer. si on a le choix c'est que l'on a plusieurs possibilités et si on en prend une c'est qu'on abandonne les autres.
pourtant il est une fois dans ma vie ou j'aurais aimé avoir le choix, c'est pour rejoindre mon aimé.


SI J’AVAIS LE CHOIX

Oh si j’avais le choix !
Je serais un oiseau
Qui volerai vers toi
Le vent me poussant dans le dos

Oh si j’avais le choix !
Je serai un bateau
Qui voguerai vers toi
Portée par les flots

Oh si j’avais le choix !
Je serai une auto
Qui roulerai vers toi
chargées de cadeaux

Oh si j’avais le choix !
Je serais une moto
Qui rugirai vers toi
Au passé tournant le dos

Oh si j’avais le choix !
Même en radeau
Je flotterai vers toi
Bercée par les eaux

Oh si j’avais le choix !
Je me ferai stylo
Le cœur chargé d’émoi
Je t’écrirai ces mots :

« JE T’AIME »

dimanche 15 février 2009

LA VIE


Parceque je trouve que c'est le plus beau cadeau que l'on nous fait,
parceque je pense que c'est à travers les épreuves qu'on l'apprécie,
parceque je dis que c'est qu'en on a faillit la perdre qu'on la découvre,
parceque je sais que c'est dans les choses les plus simples qu'elle est la plus belle
voici aujourd'hui ce petit poème :



QUE C’EST BEAU LA VIE


Quand au petit matin
L’herbe tendre du chemin
De mille lumières parée
Scintille de rosée.
Le jour remplace la nuit,
La lune s ‘est évanouie.
Les fleurs se réveillent
Le cœur baigné de soleil.
Dans l’eau du ruisseau
Se baignent les oiseaux.
Le miracle est renouvelé
Un nouveau jour est né.
Oh ! mon Dieu Merci
Que c’est beau la vie !

Babeth
UN ACCIDENT
Le jour, la nuit,
La nuit, le jour,
Le noir, le blanc,
Le blanc le noir,
Le noir qui devient blanc,
Le blanc qui devient noir,
Et ce bruit, ce bruit....
Ce bruit sourd,
Ce bruit strident,
Ce bruit lourd,
Ce bruit inquiétant,
Tous ces visages au dessus du mien,
Tous ces corps transparents,
Cette gorge dont rien ne vient,
Ce cri que nul n'entend,
Cette peur qui m'étreint,
Cette escale dans le temps,
La vie qui me fait mal,
La mort qui m'attend....
J'arrive à l'hôpital,
C'est une question de temps
Babeth