L’EAU
Il est un bien-être
Issus de la nuit des temps
Sans lequel nul être
Ne serait encore vivant
Source de bonheur
quand tu coules sur mon corps
Et que tes larmes effleurent
Ma peau offerte sans remors
Source de vie
Quand tu coules en moi,
Et ma soif est tarie,
Par ce nectar roi.
Don que Dame Nature
Renouvelle éternellement
Si l’homme, par ses sciences obscures
Ne gâche pas inutilement.
Plus précieuse qu’un trésor,
Plus capricieuse qu’une maîtresse,
Plus recherchée que de l’or,
Plus vénérée qu’une déesse.
Oh ! vil individu
Saches que tu es perdu,
Si dans tes gestes les plus sots
Tu assassines l’eau
Babeth
Il est un bien-être
Issus de la nuit des temps
Sans lequel nul être
Ne serait encore vivant
Source de bonheur
quand tu coules sur mon corps
Et que tes larmes effleurent
Ma peau offerte sans remors
Source de vie
Quand tu coules en moi,
Et ma soif est tarie,
Par ce nectar roi.
Don que Dame Nature
Renouvelle éternellement
Si l’homme, par ses sciences obscures
Ne gâche pas inutilement.
Plus précieuse qu’un trésor,
Plus capricieuse qu’une maîtresse,
Plus recherchée que de l’or,
Plus vénérée qu’une déesse.
Oh ! vil individu
Saches que tu es perdu,
Si dans tes gestes les plus sots
Tu assassines l’eau
Babeth